mercredi 17 septembre 2008

FESTI 2007 EN IMAGE
















Le







La fête était belle et grandiose en 2007. Le décor (1) était digne de l'évènement. L'occasion était rehaussée par la présence du Ministre de la culture, Madame Matutu Muna (2) qui prononce son discours d'ouverture (3) La technique a assuré avec Kingue ici à l'oeuvre (4) Ama Tutu Muna félicite le promoteur René Ayina (6) Ama Tutu Muna coupant le ruban symbolique. Le public s'est bien amusé.

mardi 16 septembre 2008

VINCENT NGUINI, le patriarche bantou sera le parrain du festi 2008


A native of Cameroon (Central Africa), guitarist, composer, and arranger, Vincent Nguini was introduced to music by his grandfather through initiation into traditional drumming (ceremonial and drum communication). While in high school he gave up the drums and diligently began playing guitar up to eight hours a day.

In 1969 Vincent started playing standard jazz and pop music (The Beatles, Jimmy Hendrix, Deep Purple, The Who, Crosby Stills & Nash, Frank Zappa, etc.) in clubs and hotels.

By 1973 Vincent was ready to move to West Africa where he continued to play as a banc leader in Nigeria, Ghana, and the Ivory Coast. It was West Africa where in became very familiar with High Life Music.

Five years later Vincent moved to Paris and arranged music for various African artists. He joined Manu D'Bango's band as lead guitarist and also recorded with Henry Salvador, Slim Pezin, and Dikoto of Ossi Bissa.

In 1987 he moved to America and began playing with Paul Simon as one of the lead guitar players. Since then he has also recorded with Jimmy Buffet, The Neville Brothers, Chris Botti, Michael Brecker, Stanley Clark, Thelma Houston, CeCe Peniston, Etta James (Sisters of Glory), Anton Fig, Jonathan Butler, Hugh Masekela, Peterzaremba, Jeff Muller, Ruben Blade, Marc Anthony, Ethnita Hernandez, Annie Lenox, Peter Towson of the WHO etc...

In the last ten years, Vincent has written and produced five of his own albums; Symphony Bantu, Mezik Me Mvamba, Sunshine Day, the Traveler, and Douma.
reviews
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TU ES UNE ICONE
author: obammax2003
Vincent, j' ai toujours aimé ta musique je ne sais comment faire pour acheter cet album à Dla un seul mot : continue de nous nourir musicalement . Ton petit frere . Maxime OBAM MBA


author: Hubert.Amugu


Bonsoir Vincent,be titre bese bene Mbeng c'est indiscutable*et c'est clair! ns avons la guitare dans le sang,elle est dans notre arbre genealogique* je suis tres fier de toi grand frere*5 etoiles ne suffisent pas!l'album vaut plus que ca!il faut l'eparpiller partout ici en Allemagne! za bo Tournee** c'est un Super' Album** mes felicitations* et bon courage Vincent* ton frere Hubert.Amugu

GREAT ALBUM
author: Pierre A. ATANGANA

J'attribue cinq étoiles parce qu' en général j'apprécie tout ce que tu fais, musicalement parlant. J'ai vraiment adoré Kaele, il faut vraiment avoir le feeling pour le découvrir. Mais j'ai un problème:comment trouver tes albums à Yaoundé ou à Douala ? Je viens juste de découvrir Douma en faisant des recherches sur le net. Merci de garder ton style particulier.

Amazing CD! Vincent Nguini has created another enjoyable treat!
author: Mike Naylor
Perfect road trip CD...or
sit back, grab a beer and watch the sunset while listening to these 11 stand out tracks.

LOVELY ALBUM
author: TRESOR YOASSI

I gave four stars because I'm still enjoying the listening of the album. I'm glad to know that Vincent has offer the public something new to "eat". I met Vincent during an air Show in Cameroon in 1998 i believe while working at FM 94 in Yaounde for LES MUSIQUES que J'AIME with Late Jo Mbende. Awesome experience to be close of this giant. I like track 2 with the lady voice and the use of Vincent'guitar. Kongossa reminds me of people gossiping at home and around, people always do right..Evou, hmmmm Vincent O ne Evou nga?? :)) superbe album Vincent, du courage.
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Lady Ponce, une tigresse en devenir


Des rumeurs folles de la cité balnéaire de Kribi la donnaient morte il y a quelques semaines. Lady Ponce est plus vivante que jamais. La preuve son tout dernier opus baptisé confession sorti au mois de juin 2008 fait un carton dans tout le Cameroun.
La chanteuse qualifie ce 2ème album de œuvre autobiographique. Elle y fait sa confession.

« Cet Album est une partie de moi même que j’ai voulu partager avec les mélomanes » déclare Adèle Rufine Ngono alias Lady Ponce qui a été sacrée artiste féminine de l’année 2007 dans la plupart des cérémonies de récompenses musicales avec son premier album « le ventre ».

Un an après, elle récidive avec « Confessions » dont le titre phare « Trahison » est déjà sur toutes les lèvres. La promotion de cette galette de 12 titres ayant débuté depuis le mois d’Avril dernier même si l’album n’est sorti qu’en juin.

« Trahison » raconte l’histoire d’une jeune femme mariée qui décide de quitter son foyer pour prendre sa vie en main. Le refrain « Maman j’ai décidé de reprendre ma vie en main parce qu’on ne vit pas deux fois. Je vais piquer…je vais couper…je vais décaler » est illustratif de la décision de la jeune femme. Est-ce une continuité par rapport au premier album ? Oui et Non pourrait on dire ! Oui, car le succès qu’à connu la jeune femme avec cet album l’a tout naturellement tourné vers les plus grands.

C’est ainsi que Tout commence par la production, JPS s’en est chargé en lieu et place de Joseph Angoula Angoula pour le premier mais là peut s’arrêter la rupture car excepté deux ou trois titres, tous les autres sont restés dans le même rythme : le Bikutsi. Ce bikutsi cool qui la caractérise dans lequel elle pose son incomparable voix rocailleuse, suave et sensuelle.

Les thèmes sont tout comme dans le premier album ont un lien avec l’amour, les sentiments, le bas ventre diraient certains ! Seuls les titres « Afrika », « Masingui » et « la dot « sortent de ce rythme pour se balader entre le RnB, le zouk et le slow.
La continuité se vérifie aussi au niveau de ceux qui ont participé à l’album comme l’arrangeur Christian Nguni à qui l’artiste a renouvelé sa confiance ainsi qu’à la basse où Patou Bass officie.

Les studios Makassi de Sam Fan Thomas ont servi de prise de son. La pochette du CD qui coûte 2000 FCFA présente une lady Ponce belle, qui a pris un peut de rondeur mais dont le look ne change pas. Parée de bijoux africains, elle est coiffée de longs rastas qui lui tombent aux reins sur lesquelles sont fixées des perles en bois et est vêtue d’un pantalon jean qui laisse entrevoir un peu de chair sur la chute de rein, souriante avec lentilles bleues dont elle ne se sépare plus. Le fond bleu du papier rappelle la clarté et la joie de vivre. IL y est inscrit le nom de l’artiste et le titre en caractère majuscule barre la pochette en deux : Confession. Comme elle le dit elle-même le premier album lui aura permis de se bâtir une notoriété et elle espère que celui - ci aura plus de retombées financière. Lady Ponce émet néanmoins des réserves car dit-elle « l’album est déjà piratée alors qu’il n’a même pas deux semaines de vie ». Dommage

S’il ya bien une chose que l’on peut regretter dans cette album, c’est la longue liste des noms égrenée au fil des chansons. De JPS à Achille Emana en passant pas Chantal Biya la première dame ou encore serges Tamba, Cyrille Bojiko et Tchop Tchop, tous animateurs, l’artiste ne manque pas une seule occasion pour rendre hommage à ceux qui la soutiennent. Sauf qu’à la longue cela devient agaçant. L’un des reproches que l’on pourrait aussi faire est cette désagréable impression de changement brusque de cadence du titre phare en trois phases différentes ! Le danseur a donc l’impression d devoir s’arrêter un moment pour reprendre.

Au côté de K-tino, Majoi Ayi, Rantamplan, Lady Ponce sera l’une des grandes attractions de cette 10ème édition du festival international des musiques bantous. La mère de « moan yesus » montera sur le podium au Camp AES Sonel d’Essos le vendredi 14 novembre pour animer une soirée féminine qui s’annonce explosive.