vendredi 14 novembre 2008
mercredi 5 novembre 2008
ZANZIBAR POUR L'ETERNITE: Homme mérité à un grand musicien
Source : Article de Roger Owona (Cameroon tribune)
François Bensignor, dec. 95
François Bensignor, dec. 95
Zanzibar est décédé mais son œuvre reste graver dans la mémoire collective…
EPEME Théodore, plus connu sous le nom de "Zanzibar",est un artiste musicien camerounais dont la carrière a été lancée par le groupe "Les Têtes brulées" . Il est considéré comme l'un des piliers majeurs de la musique Bikutsi. A la fois chanteur, danseur et guitariste polyvalent plurirythmique dont le doigté était une fusion de toutes les tendances du Bikutsi. Zanzibar a débuté sa carrière dans les "Danys Boys" d'OKOLA qu'il va quitter par la suite pour rejoindre Mama Ohanja et le groupe "Confiance jazz" comme choriste, percussionniste et deuxième guitariste. Il va par la suite travailler avec "les Supers volcans de la capitale" et le groupe Ozima" de Ange Ebogo Emérant. Plus tard, il se fera remarquer par son génie créateur dans l’album qui porte le titre Okon ma Kon.
Le groupe « Les Têtes Brûlées » sera fondé sous la houlette de Jean Marie Ahanda. La rencontre de Zanzibar avec Atebass, bassiste expressif doublé d’un showman remarquable allume la flamme. L’imagination féconde de Jean Marie Ahanda, grâce à la conception d’un look d’enfer, met le feu aux poudres. …
Il fonde au début des années 1980, au Nigéria son groupe "le Zoubaki international" avec lequel il formera l'ossature du groupe "Les Têtes brulées" avec lequel il a composé l'un des classiques de la musique Bikutsi la chanson "Essingan".
Paru courant 86, « Essingan, précise Cameroon Tribune, reste et demeure un des principaux événements musicaux majeurs du milieu des années 80. Depuis lors, au Cameroun, un guitariste incapable d’interpréter ce désormais classique n’en est pas tout à fait un. Œuvre d’anthologie, ce titre est en réalité un véritable cours de musique »
Sa carrière nationale et internationale est lancée avec le concours Découverte RFI en 1987. Débarquant en France pour une série de concerts en 1988, la réalisatrice Claire Denis, qui a remarqué le groupe à Yaoundé, décide de partir en tournée avec les artistes. Elle en tire un film très attachant "Man No Run".Parallèlement, Jean Marie Teno réalise "Bikutsi water blue"
Dans un article qu’il publie dans le quotidien gouvernemental bilingue, Roger Owona se souvient : « Dans la nuit du 21 au 22 octobre 88, c’est-à-dire pratiquement quelques heures avant sa mort, l’alter-égo d’Atebass (Mvondo Ateba Albert) est présent à Eldorado Nkomo. Mieux, il s’y produit : le guitar-heroe tire de son instrument ce qu’il veut, pour le plus grand plaisir de ses nombreux inconditionnels. Dans ce temple laïc du bikutsi, le musicien distille et répand une formidable orgie de notes, de sonorités et d’harmonies. Chaudes, irrésistibles, celles-ci s’insinuent dans les aficionados, comme une bienfaisante… coulée de laves ; l’hystérie s’empare des gens. Les gens en redemandent. " Zanzi " joue alors son dernier solo.
La mort de Zanzibar touche d’autant plus que ce gaillard a un talent fou, fou. Doté d’un phrasé et d’un doigté à part, il vient comme donner un coup de médiator dans la fourmilière de l’inertie ambiante. Du coup, ça bouge, ça grince, ça délie, ça se délite…Jusqu’en 2008, ce bikutsi haut de gamme se démarque de tout ce qui se fait dans ce genre. Originalité, maîtrise de l’exécution, richesse de la composition, " expressivité " singulière de la guitare et de la basse, etc. Zanzibar et Atebass, les deux mousquetaires de " Chacal Bar " (Nkol Eton, à Yaoundé) étaient passés par là. Zanzibar explorait un mode et des lignes mélodiques, proprement insoupçonnés au bataillon des adeptes de la facilité. Mis sur orbite en 84 grâce à l’album… »
Jean-Marie Ahanda, instigateur de toute l'affaire, a de quoi se réjouir. Le groupe est, en effet, la matérialisation d'un de ses rêves d'artiste. Jeune peintre, mais aussi critique musical parmi les plus redoutés du Cameroun, trompettiste à ces heures et producteur de quelques chansons à succès, il est parvenu à réunir autour du fabuleux guitariste-chanteur-compositeur Théodore Épémé, alias Zanzibar, un combo de choc. Tout s'enclenche alors comme par magie. Un banquier met à leur disposition le matériel musical nécessaire. Le Chacal Bar les engage pour animer les soirées de fins de semaines. Débarquant en France pour une série de concerts en 1988, la réalisatrice Claire Denis, qui les a remarqué à Yaoundé, décide de partir avec eux en tournée. Elle en tire un film très attachant "Man No Run". Quand le groupe rentre au Cameroun, il a déjà enregistré la matière d'un album. Retournement de fortune, en 1989, Zanzibar, l'âme musicale du groupe perd brutalement la vie, dans d'obscures circonstances. Le deuil est lourd. Mais pourquoi mettre fin à une aventure musicale si prometteuse ? Jean-Marie veut tenir ses engagements. Le disque de la musique du film sort en France. C'est le son brut du groupe en scène, avec cette énergie heureuse et ce goût de la danse si communicatif. La sortie de l'album studio doit attendre 1990. La formation de concert s'enrichit d'un joueur de claviers. Ahanda lui-même s'investit beaucoup plus dans la musique du groupe qu'à ses débuts, où il se contentait de faire une animation cocasse, jonglant avec son éternel ballon de football.
Au cours des années suivantes, les Têtes Brûlées parcourent le monde étendant leur notoriété en Angleterre et surtout aux États Unis. Après un premier passage de trois concerts à San Francisco, Los Angeles, New York, ils sont programmés pour quarante concerts l'année suivante, soixante l'année d'après, où ils jouent aussi au Canada. "L'année de la coupe du monde de football, nous nous sommes limités à la Côte Ouest, afin de pouvoir assister aux matchs -- surtout de l'équipe du Cameroun", avoue Jean-Marie.
Le succès des Têtes Brûlées a donné des idées aux musiciens camerounais. La production du bikutsi moderne a connu une véritable explosion à Yaoundé. Les chanteurs se sont multipliés. Ce sont eux qui fournissent aujourd'hui l'ambiance dans quatre ou cinq bars où la jeunesse de Yaoundé vient "pédaler", nouveau terme donné à la danse bikutsi, qui décrit bien ses mouvements. "Vendredi et samedi sont les jours de grande affluence," dit Jean-Marie. "Les gens vont danser le bikutsi pour s'offrir un véritable moment de détente. Ils en ont besoin, après ces temps d'insécurité politique et de dévaluation. Le bikutsi est une danse un peu désordonnée, parfois brutale, parce que pleine de mouvements qui demandent de la place. Mais les bars sont tellement bondés certains soirs que les gens se sont mis à danser sur les tables et les chaises. Dès que la danse est finie, on se rassoit et tout redevient calme." Huit ans après leur entrée fracassante sur la scène camerounaise, les Têtes Brûlées y ont réduit leur activité. Travailler dans les conditions professionnelles qu'ils connaissent dans le Nord est quasiment impossible au pays et c'est leur grand regret. Avec leur nouvel album, "Be Happy", ils souhaitent se concentrer sur leur carrière internationale. Et c'est un groupe rénové, musclé avec deux nouveaux guitaristes et un nouveau batteur, qui défendra le nom des "Rois du bikutsi-rock" au cours de leur prochaine tournée. François Bensignor Discographie : 1988 : Les Têtes Brûlées (Bleu Caraïbe) 1991 : Bikutsi Rock (Dona Wana) 1995 : Be Happy (Dona Wana)
EPEME Théodore, plus connu sous le nom de "Zanzibar",est un artiste musicien camerounais dont la carrière a été lancée par le groupe "Les Têtes brulées" . Il est considéré comme l'un des piliers majeurs de la musique Bikutsi. A la fois chanteur, danseur et guitariste polyvalent plurirythmique dont le doigté était une fusion de toutes les tendances du Bikutsi. Zanzibar a débuté sa carrière dans les "Danys Boys" d'OKOLA qu'il va quitter par la suite pour rejoindre Mama Ohanja et le groupe "Confiance jazz" comme choriste, percussionniste et deuxième guitariste. Il va par la suite travailler avec "les Supers volcans de la capitale" et le groupe Ozima" de Ange Ebogo Emérant. Plus tard, il se fera remarquer par son génie créateur dans l’album qui porte le titre Okon ma Kon.
Le groupe « Les Têtes Brûlées » sera fondé sous la houlette de Jean Marie Ahanda. La rencontre de Zanzibar avec Atebass, bassiste expressif doublé d’un showman remarquable allume la flamme. L’imagination féconde de Jean Marie Ahanda, grâce à la conception d’un look d’enfer, met le feu aux poudres. …
Il fonde au début des années 1980, au Nigéria son groupe "le Zoubaki international" avec lequel il formera l'ossature du groupe "Les Têtes brulées" avec lequel il a composé l'un des classiques de la musique Bikutsi la chanson "Essingan".
Paru courant 86, « Essingan, précise Cameroon Tribune, reste et demeure un des principaux événements musicaux majeurs du milieu des années 80. Depuis lors, au Cameroun, un guitariste incapable d’interpréter ce désormais classique n’en est pas tout à fait un. Œuvre d’anthologie, ce titre est en réalité un véritable cours de musique »
Sa carrière nationale et internationale est lancée avec le concours Découverte RFI en 1987. Débarquant en France pour une série de concerts en 1988, la réalisatrice Claire Denis, qui a remarqué le groupe à Yaoundé, décide de partir en tournée avec les artistes. Elle en tire un film très attachant "Man No Run".Parallèlement, Jean Marie Teno réalise "Bikutsi water blue"
Dans un article qu’il publie dans le quotidien gouvernemental bilingue, Roger Owona se souvient : « Dans la nuit du 21 au 22 octobre 88, c’est-à-dire pratiquement quelques heures avant sa mort, l’alter-égo d’Atebass (Mvondo Ateba Albert) est présent à Eldorado Nkomo. Mieux, il s’y produit : le guitar-heroe tire de son instrument ce qu’il veut, pour le plus grand plaisir de ses nombreux inconditionnels. Dans ce temple laïc du bikutsi, le musicien distille et répand une formidable orgie de notes, de sonorités et d’harmonies. Chaudes, irrésistibles, celles-ci s’insinuent dans les aficionados, comme une bienfaisante… coulée de laves ; l’hystérie s’empare des gens. Les gens en redemandent. " Zanzi " joue alors son dernier solo.
La mort de Zanzibar touche d’autant plus que ce gaillard a un talent fou, fou. Doté d’un phrasé et d’un doigté à part, il vient comme donner un coup de médiator dans la fourmilière de l’inertie ambiante. Du coup, ça bouge, ça grince, ça délie, ça se délite…Jusqu’en 2008, ce bikutsi haut de gamme se démarque de tout ce qui se fait dans ce genre. Originalité, maîtrise de l’exécution, richesse de la composition, " expressivité " singulière de la guitare et de la basse, etc. Zanzibar et Atebass, les deux mousquetaires de " Chacal Bar " (Nkol Eton, à Yaoundé) étaient passés par là. Zanzibar explorait un mode et des lignes mélodiques, proprement insoupçonnés au bataillon des adeptes de la facilité. Mis sur orbite en 84 grâce à l’album… »
Jean-Marie Ahanda, instigateur de toute l'affaire, a de quoi se réjouir. Le groupe est, en effet, la matérialisation d'un de ses rêves d'artiste. Jeune peintre, mais aussi critique musical parmi les plus redoutés du Cameroun, trompettiste à ces heures et producteur de quelques chansons à succès, il est parvenu à réunir autour du fabuleux guitariste-chanteur-compositeur Théodore Épémé, alias Zanzibar, un combo de choc. Tout s'enclenche alors comme par magie. Un banquier met à leur disposition le matériel musical nécessaire. Le Chacal Bar les engage pour animer les soirées de fins de semaines. Débarquant en France pour une série de concerts en 1988, la réalisatrice Claire Denis, qui les a remarqué à Yaoundé, décide de partir avec eux en tournée. Elle en tire un film très attachant "Man No Run". Quand le groupe rentre au Cameroun, il a déjà enregistré la matière d'un album. Retournement de fortune, en 1989, Zanzibar, l'âme musicale du groupe perd brutalement la vie, dans d'obscures circonstances. Le deuil est lourd. Mais pourquoi mettre fin à une aventure musicale si prometteuse ? Jean-Marie veut tenir ses engagements. Le disque de la musique du film sort en France. C'est le son brut du groupe en scène, avec cette énergie heureuse et ce goût de la danse si communicatif. La sortie de l'album studio doit attendre 1990. La formation de concert s'enrichit d'un joueur de claviers. Ahanda lui-même s'investit beaucoup plus dans la musique du groupe qu'à ses débuts, où il se contentait de faire une animation cocasse, jonglant avec son éternel ballon de football.
Au cours des années suivantes, les Têtes Brûlées parcourent le monde étendant leur notoriété en Angleterre et surtout aux États Unis. Après un premier passage de trois concerts à San Francisco, Los Angeles, New York, ils sont programmés pour quarante concerts l'année suivante, soixante l'année d'après, où ils jouent aussi au Canada. "L'année de la coupe du monde de football, nous nous sommes limités à la Côte Ouest, afin de pouvoir assister aux matchs -- surtout de l'équipe du Cameroun", avoue Jean-Marie.
Le succès des Têtes Brûlées a donné des idées aux musiciens camerounais. La production du bikutsi moderne a connu une véritable explosion à Yaoundé. Les chanteurs se sont multipliés. Ce sont eux qui fournissent aujourd'hui l'ambiance dans quatre ou cinq bars où la jeunesse de Yaoundé vient "pédaler", nouveau terme donné à la danse bikutsi, qui décrit bien ses mouvements. "Vendredi et samedi sont les jours de grande affluence," dit Jean-Marie. "Les gens vont danser le bikutsi pour s'offrir un véritable moment de détente. Ils en ont besoin, après ces temps d'insécurité politique et de dévaluation. Le bikutsi est une danse un peu désordonnée, parfois brutale, parce que pleine de mouvements qui demandent de la place. Mais les bars sont tellement bondés certains soirs que les gens se sont mis à danser sur les tables et les chaises. Dès que la danse est finie, on se rassoit et tout redevient calme." Huit ans après leur entrée fracassante sur la scène camerounaise, les Têtes Brûlées y ont réduit leur activité. Travailler dans les conditions professionnelles qu'ils connaissent dans le Nord est quasiment impossible au pays et c'est leur grand regret. Avec leur nouvel album, "Be Happy", ils souhaitent se concentrer sur leur carrière internationale. Et c'est un groupe rénové, musclé avec deux nouveaux guitaristes et un nouveau batteur, qui défendra le nom des "Rois du bikutsi-rock" au cours de leur prochaine tournée. François Bensignor Discographie : 1988 : Les Têtes Brûlées (Bleu Caraïbe) 1991 : Bikutsi Rock (Dona Wana) 1995 : Be Happy (Dona Wana)
Quelques titres de Zanzibar avec les Têtes Brûlées.
Nadege (Théodore Epeme "Zanzibar")
Man elele(Théodore Epeme "Zanzibar")
Papa wom(Théodore Epeme "Zanzibar")
Meboya(Théodore Epeme "Zanzibar")
Ma musique a moi(Jean-Marie Ahanda)
Essingan(Théodore Epeme "Zanzibar")
Adzo assimba(Albert Mvondo Ateba)
Nous sommes les têtes brûlées(Théodore Epeme "Zanzibar")
Za ayi me yi(Théodore Epeme "Zanzibar")
Séverin ALEGA MBELE
Nadege (Théodore Epeme "Zanzibar")
Man elele(Théodore Epeme "Zanzibar")
Papa wom(Théodore Epeme "Zanzibar")
Meboya(Théodore Epeme "Zanzibar")
Ma musique a moi(Jean-Marie Ahanda)
Essingan(Théodore Epeme "Zanzibar")
Adzo assimba(Albert Mvondo Ateba)
Nous sommes les têtes brûlées(Théodore Epeme "Zanzibar")
Za ayi me yi(Théodore Epeme "Zanzibar")
Séverin ALEGA MBELE
vendredi 31 octobre 2008
MAJOIE AYI: L'UNE DES GRANDES ATTRACTIONS DE CETTE EDITION DU FESTIBIKUTSI
Jour-J moins 4.
Le grand jour approche au grand galop. Tout est fin prêt pour la grande fête. Les derniers détails au sujet de la prestation des artistes sont reglés depuis la semaine passée. Une réunion a mis autour de la table le promoteur du festi, Rebé Ayina et ces derniers. En attendant, Majoie Ayi s'est produit le vendredi 31 octobre 2008 à Yaoundé. Elle sera l'une des grosses pointures de la chanson bikutsi invitée au Camp AES Sonel d'Essos.
mercredi 1 octobre 2008
FACE A LA PRESSE

Jour-J moins 4.
René Ayina, promoteur du Festibikutsi et Président du comité d'organisation était face à la presse mercredi 08 octobre 2008 à 10 heures 30, au siège de l'association irondel à la cité verte. "Les préparatifs de la 10ème édition du festival vont bon train" a-t- il dit aux journalistes venus aux nouvelles. La femme ajoutera -t-il sera honorée à juste titre au cour de cette édition. Depuis plus d'une décennie, la femme contribue à la promotion de la culture Bantou aussi bien au Cameroun qu'à l'extérieur. Le Cameroun en général et la communauté Beti en particulier peut être fière de ses dignes ambassadrices. La reine K-tino ou encore ses jeunes disciples Lady Ponce, Majoie Ayi tiennent haut le flambeau du "Bikutsi". Normal qu'une soirée spéciale leur soie consacrée au Camp AES S onel d'Essos. Cette année également, de grandes innovations sont attendues. Pour la première fois, les artistes seront primés pour leur oeuvre au cours d'une soirée de distinction qui s'annonce grandiose et riche en couleur. Un accent particulier sera mis sur la formation, un volet essentiel de la promotion des valeurs culturelles Bantous. Le FESTI est un des grands évènements culturels du Cameroun. Suivant les contraintes du calendrier des activités au Cameroun, la date l'évènement est arrêtée. Cette année, c'est le mois de novembre qui est retenu.
mercredi 17 septembre 2008
FESTI 2007 EN IMAGE




La fête était belle et grandiose en 2007. Le décor (1) était digne de l'évènement. L'occasion était rehaussée par la présence du Ministre de la culture, Madame Matutu Muna (2) qui prononce son discours d'ouverture (3) La technique a assuré avec Kingue ici à l'oeuvre (4) Ama Tutu Muna félicite le promoteur René Ayina (6) Ama Tutu Muna coupant le ruban symbolique. Le public s'est bien amusé.
mardi 16 septembre 2008
VINCENT NGUINI, le patriarche bantou sera le parrain du festi 2008

A native of Cameroon (Central Africa), guitarist, composer, and arranger, Vincent Nguini was introduced to music by his grandfather through initiation into traditional drumming (ceremonial and drum communication). While in high school he gave up the drums and diligently began playing guitar up to eight hours a day.
In 1969 Vincent started playing standard jazz and pop music (The Beatles, Jimmy Hendrix, Deep Purple, The Who, Crosby Stills & Nash, Frank Zappa, etc.) in clubs and hotels.
By 1973 Vincent was ready to move to West Africa where he continued to play as a banc leader in Nigeria, Ghana, and the Ivory Coast. It was West Africa where in became very familiar with High Life Music.
Five years later Vincent moved to Paris and arranged music for various African artists. He joined Manu D'Bango's band as lead guitarist and also recorded with Henry Salvador, Slim Pezin, and Dikoto of Ossi Bissa.
In 1987 he moved to America and began playing with Paul Simon as one of the lead guitar players. Since then he has also recorded with Jimmy Buffet, The Neville Brothers, Chris Botti, Michael Brecker, Stanley Clark, Thelma Houston, CeCe Peniston, Etta James (Sisters of Glory), Anton Fig, Jonathan Butler, Hugh Masekela, Peterzaremba, Jeff Muller, Ruben Blade, Marc Anthony, Ethnita Hernandez, Annie Lenox, Peter Towson of the WHO etc...
In the last ten years, Vincent has written and produced five of his own albums; Symphony Bantu, Mezik Me Mvamba, Sunshine Day, the Traveler, and Douma.
reviews
.
TU ES UNE ICONE
author: obammax2003
Vincent, j' ai toujours aimé ta musique je ne sais comment faire pour acheter cet album à Dla un seul mot : continue de nous nourir musicalement . Ton petit frere . Maxime OBAM MBAIn 1969 Vincent started playing standard jazz and pop music (The Beatles, Jimmy Hendrix, Deep Purple, The Who, Crosby Stills & Nash, Frank Zappa, etc.) in clubs and hotels.
By 1973 Vincent was ready to move to West Africa where he continued to play as a banc leader in Nigeria, Ghana, and the Ivory Coast. It was West Africa where in became very familiar with High Life Music.
Five years later Vincent moved to Paris and arranged music for various African artists. He joined Manu D'Bango's band as lead guitarist and also recorded with Henry Salvador, Slim Pezin, and Dikoto of Ossi Bissa.
In 1987 he moved to America and began playing with Paul Simon as one of the lead guitar players. Since then he has also recorded with Jimmy Buffet, The Neville Brothers, Chris Botti, Michael Brecker, Stanley Clark, Thelma Houston, CeCe Peniston, Etta James (Sisters of Glory), Anton Fig, Jonathan Butler, Hugh Masekela, Peterzaremba, Jeff Muller, Ruben Blade, Marc Anthony, Ethnita Hernandez, Annie Lenox, Peter Towson of the WHO etc...
In the last ten years, Vincent has written and produced five of his own albums; Symphony Bantu, Mezik Me Mvamba, Sunshine Day, the Traveler, and Douma.
reviews
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TU ES UNE ICONE
author: obammax2003
author: Hubert.Amugu
Bonsoir Vincent,be titre bese bene Mbeng c'est indiscutable*et c'est clair! ns avons la guitare dans le sang,elle est dans notre arbre genealogique* je suis tres fier de toi grand frere*5 etoiles ne suffisent pas!l'album vaut plus que ca!il faut l'eparpiller partout ici en Allemagne! za bo Tournee** c'est un Super' Album** mes felicitations* et bon courage Vincent* ton frere Hubert.Amugu
GREAT ALBUM
author: Pierre A. ATANGANA
GREAT ALBUM
author: Pierre A. ATANGANA
J'attribue cinq étoiles parce qu' en général j'apprécie tout ce que tu fais, musicalement parlant. J'ai vraiment adoré Kaele, il faut vraiment avoir le feeling pour le découvrir. Mais j'ai un problème:comment trouver tes albums à Yaoundé ou à Douala ? Je viens juste de découvrir Douma en faisant des recherches sur le net. Merci de garder ton style particulier.
Amazing CD! Vincent Nguini has created another enjoyable treat!
author: Mike Naylor
Perfect road trip CD...or sit back, grab a beer and watch the sunset while listening to these 11 stand out tracks.
LOVELY ALBUM
author: TRESOR YOASSI
Amazing CD! Vincent Nguini has created another enjoyable treat!
author: Mike Naylor
Perfect road trip CD...or sit back, grab a beer and watch the sunset while listening to these 11 stand out tracks.
LOVELY ALBUM
author: TRESOR YOASSI
I gave four stars because I'm still enjoying the listening of the album. I'm glad to know that Vincent has offer the public something new to "eat". I met Vincent during an air Show in Cameroon in 1998 i believe while working at FM 94 in Yaounde for LES MUSIQUES que J'AIME with Late Jo Mbende. Awesome experience to be close of this giant. I like track 2 with the lady voice and the use of Vincent'guitar. Kongossa reminds me of people gossiping at home and around, people always do right..Evou, hmmmm Vincent O ne Evou nga?? :)) superbe album Vincent, du courage.
email
Lady Ponce, une tigresse en devenir

Des rumeurs folles de la cité balnéaire de Kribi la donnaient morte il y a quelques semaines. Lady Ponce est plus vivante que jamais. La preuve son tout dernier opus baptisé confession sorti au mois de juin 2008 fait un carton dans tout le Cameroun.
La chanteuse qualifie ce 2ème album de œuvre autobiographique. Elle y fait sa confession.
« Cet Album est une partie de moi même que j’ai voulu partager avec les mélomanes » déclare Adèle Rufine Ngono alias Lady Ponce qui a été sacrée artiste féminine de l’année 2007 dans la plupart des cérémonies de récompenses musicales avec son premier album « le ventre ».
Un an après, elle récidive avec « Confessions » dont le titre phare « Trahison » est déjà sur toutes les lèvres. La promotion de cette galette de 12 titres ayant débuté depuis le mois d’Avril dernier même si l’album n’est sorti qu’en juin.
« Trahison » raconte l’histoire d’une jeune femme mariée qui décide de quitter son foyer pour prendre sa vie en main. Le refrain « Maman j’ai décidé de reprendre ma vie en main parce qu’on ne vit pas deux fois. Je vais piquer…je vais couper…je vais décaler » est illustratif de la décision de la jeune femme. Est-ce une continuité par rapport au premier album ? Oui et Non pourrait on dire ! Oui, car le succès qu’à connu la jeune femme avec cet album l’a tout naturellement tourné vers les plus grands.
C’est ainsi que Tout commence par la production, JPS s’en est chargé en lieu et place de Joseph Angoula Angoula pour le premier mais là peut s’arrêter la rupture car excepté deux ou trois titres, tous les autres sont restés dans le même rythme : le Bikutsi. Ce bikutsi cool qui la caractérise dans lequel elle pose son incomparable voix rocailleuse, suave et sensuelle.
Les thèmes sont tout comme dans le premier album ont un lien avec l’amour, les sentiments, le bas ventre diraient certains ! Seuls les titres « Afrika », « Masingui » et « la dot « sortent de ce rythme pour se balader entre le RnB, le zouk et le slow.
La continuité se vérifie aussi au niveau de ceux qui ont participé à l’album comme l’arrangeur Christian Nguni à qui l’artiste a renouvelé sa confiance ainsi qu’à la basse où Patou Bass officie.
Les studios Makassi de Sam Fan Thomas ont servi de prise de son. La pochette du CD qui coûte 2000 FCFA présente une lady Ponce belle, qui a pris un peut de rondeur mais dont le look ne change pas. Parée de bijoux africains, elle est coiffée de longs rastas qui lui tombent aux reins sur lesquelles sont fixées des perles en bois et est vêtue d’un pantalon jean qui laisse entrevoir un peu de chair sur la chute de rein, souriante avec lentilles bleues dont elle ne se sépare plus. Le fond bleu du papier rappelle la clarté et la joie de vivre. IL y est inscrit le nom de l’artiste et le titre en caractère majuscule barre la pochette en deux : Confession. Comme elle le dit elle-même le premier album lui aura permis de se bâtir une notoriété et elle espère que celui - ci aura plus de retombées financière. Lady Ponce émet néanmoins des réserves car dit-elle « l’album est déjà piratée alors qu’il n’a même pas deux semaines de vie ». Dommage
S’il ya bien une chose que l’on peut regretter dans cette album, c’est la longue liste des noms égrenée au fil des chansons. De JPS à Achille Emana en passant pas Chantal Biya la première dame ou encore serges Tamba, Cyrille Bojiko et Tchop Tchop, tous animateurs, l’artiste ne manque pas une seule occasion pour rendre hommage à ceux qui la soutiennent. Sauf qu’à la longue cela devient agaçant. L’un des reproches que l’on pourrait aussi faire est cette désagréable impression de changement brusque de cadence du titre phare en trois phases différentes ! Le danseur a donc l’impression d devoir s’arrêter un moment pour reprendre.
Au côté de K-tino, Majoi Ayi, Rantamplan, Lady Ponce sera l’une des grandes attractions de cette 10ème édition du festival international des musiques bantous. La mère de « moan yesus » montera sur le podium au Camp AES Sonel d’Essos le vendredi 14 novembre pour animer une soirée féminine qui s’annonce explosive.
La chanteuse qualifie ce 2ème album de œuvre autobiographique. Elle y fait sa confession.
« Cet Album est une partie de moi même que j’ai voulu partager avec les mélomanes » déclare Adèle Rufine Ngono alias Lady Ponce qui a été sacrée artiste féminine de l’année 2007 dans la plupart des cérémonies de récompenses musicales avec son premier album « le ventre ».
Un an après, elle récidive avec « Confessions » dont le titre phare « Trahison » est déjà sur toutes les lèvres. La promotion de cette galette de 12 titres ayant débuté depuis le mois d’Avril dernier même si l’album n’est sorti qu’en juin.
« Trahison » raconte l’histoire d’une jeune femme mariée qui décide de quitter son foyer pour prendre sa vie en main. Le refrain « Maman j’ai décidé de reprendre ma vie en main parce qu’on ne vit pas deux fois. Je vais piquer…je vais couper…je vais décaler » est illustratif de la décision de la jeune femme. Est-ce une continuité par rapport au premier album ? Oui et Non pourrait on dire ! Oui, car le succès qu’à connu la jeune femme avec cet album l’a tout naturellement tourné vers les plus grands.
C’est ainsi que Tout commence par la production, JPS s’en est chargé en lieu et place de Joseph Angoula Angoula pour le premier mais là peut s’arrêter la rupture car excepté deux ou trois titres, tous les autres sont restés dans le même rythme : le Bikutsi. Ce bikutsi cool qui la caractérise dans lequel elle pose son incomparable voix rocailleuse, suave et sensuelle.
Les thèmes sont tout comme dans le premier album ont un lien avec l’amour, les sentiments, le bas ventre diraient certains ! Seuls les titres « Afrika », « Masingui » et « la dot « sortent de ce rythme pour se balader entre le RnB, le zouk et le slow.
La continuité se vérifie aussi au niveau de ceux qui ont participé à l’album comme l’arrangeur Christian Nguni à qui l’artiste a renouvelé sa confiance ainsi qu’à la basse où Patou Bass officie.
Les studios Makassi de Sam Fan Thomas ont servi de prise de son. La pochette du CD qui coûte 2000 FCFA présente une lady Ponce belle, qui a pris un peut de rondeur mais dont le look ne change pas. Parée de bijoux africains, elle est coiffée de longs rastas qui lui tombent aux reins sur lesquelles sont fixées des perles en bois et est vêtue d’un pantalon jean qui laisse entrevoir un peu de chair sur la chute de rein, souriante avec lentilles bleues dont elle ne se sépare plus. Le fond bleu du papier rappelle la clarté et la joie de vivre. IL y est inscrit le nom de l’artiste et le titre en caractère majuscule barre la pochette en deux : Confession. Comme elle le dit elle-même le premier album lui aura permis de se bâtir une notoriété et elle espère que celui - ci aura plus de retombées financière. Lady Ponce émet néanmoins des réserves car dit-elle « l’album est déjà piratée alors qu’il n’a même pas deux semaines de vie ». Dommage
S’il ya bien une chose que l’on peut regretter dans cette album, c’est la longue liste des noms égrenée au fil des chansons. De JPS à Achille Emana en passant pas Chantal Biya la première dame ou encore serges Tamba, Cyrille Bojiko et Tchop Tchop, tous animateurs, l’artiste ne manque pas une seule occasion pour rendre hommage à ceux qui la soutiennent. Sauf qu’à la longue cela devient agaçant. L’un des reproches que l’on pourrait aussi faire est cette désagréable impression de changement brusque de cadence du titre phare en trois phases différentes ! Le danseur a donc l’impression d devoir s’arrêter un moment pour reprendre.
Au côté de K-tino, Majoi Ayi, Rantamplan, Lady Ponce sera l’une des grandes attractions de cette 10ème édition du festival international des musiques bantous. La mère de « moan yesus » montera sur le podium au Camp AES Sonel d’Essos le vendredi 14 novembre pour animer une soirée féminine qui s’annonce explosive.
vendredi 29 août 2008
HISTORIQUE DU FESTI-BIKUTSI
1995 : 1ère édition du festival de Bikutsi dans les jardins de l'ancien palais présidentiel, actuel Musée National et stade Mbappe Lepe de Douala
1996 : 2ème édition du festival de Bikutsi au stade militaire de Yaoundé
1997 : 3ème édition du festival de Bikutsi, devenu Festi Bikutsi au Complexe Sportif de l'université de Yaoundé I
1998 : 4ème édition du Festi Bikutsi, à Carroussol et à l'espace culturel African Logic (Invité Sally Nyolo).
1999 : 5ème édition du Festi Bikutsi (Marraine Sally Nyolo), au cinéma Abbia, CCF Douala, Afc de Dschang, Afc Buéa.
2002 : 6ème édition du Festi Bikutsi, Camp SONEL, Yaoundé, avec le soutien des Brasseries du Cameroun
2003 : 7ème édition du Festi Bikutsi, stade de la sous préfecture de Nlongkak à Yaoundé, avec ouverture sur la sous région (Participation du groupe Pyramides du TCHAD).
2006 : 8ème édition du Festi Bikutsi, Camp AES SONEL d’Essos, Yaoundé.
2007 : 9ème édition du Festi Bikutsi, Camp AES SONEL d’Essos, Yaoundé
1996 : 2ème édition du festival de Bikutsi au stade militaire de Yaoundé
1997 : 3ème édition du festival de Bikutsi, devenu Festi Bikutsi au Complexe Sportif de l'université de Yaoundé I
1998 : 4ème édition du Festi Bikutsi, à Carroussol et à l'espace culturel African Logic (Invité Sally Nyolo).
1999 : 5ème édition du Festi Bikutsi (Marraine Sally Nyolo), au cinéma Abbia, CCF Douala, Afc de Dschang, Afc Buéa.
2002 : 6ème édition du Festi Bikutsi, Camp SONEL, Yaoundé, avec le soutien des Brasseries du Cameroun
2003 : 7ème édition du Festi Bikutsi, stade de la sous préfecture de Nlongkak à Yaoundé, avec ouverture sur la sous région (Participation du groupe Pyramides du TCHAD).
2006 : 8ème édition du Festi Bikutsi, Camp AES SONEL d’Essos, Yaoundé.
2007 : 9ème édition du Festi Bikutsi, Camp AES SONEL d’Essos, Yaoundé
FESTIBIKUTSI 2008

Ce 10è anniversaire du Festival international des musiques bantous veut marquer un grand coup en offrant à son public un programme de haute gamme. La qualité de la prommation des concerts en dit long. Cette année plus qu'hier l'effervescence montera d'un cran au camps AES Sonel d'Essos. Découvrez en exclusivité le programme et la programmation de la 10è édition du Festi 2008"
AVANT PROGRAMME
Lundi 10 novembre 2008
10 heures au Camp Sonel : Formation sur « Management et carrières d’artistes »
16 heures au Camp Sonel : Atelier des enfants sur les instruments traditionnels
Mardi 11 novembre 2008
10 heures au Camp Sonel : Formation sur « Management et carrières d’artistes »
11 heures au Camp Sonel : Point de presse des artistes
16 heures au Camp Sonel : Atelier des enfants sur les instruments traditionnels
16 heures ESSTIC, Campus Ngoa Ekellé : Conférence - débat sur « le bikutsi d’hier à aujourd’hui, quelle évolution » ; Intervenants : Daniel Anicet NOAH, cl Kalkaba Malboum, Jean Maurice NOAH, Abega Minkala
Mercredi 12 novembre 2008
10 heures au Camp Sonel : Formation sur « Management et carrières d’artistes »
11 heures au Camp Sonel : Réunion des agents et managers artistiques pour le lancement d’un syndicat professionnel camerounais (IAMA, MMFF-France)
13 heures : Caravane du Festival
16 heures au Camp Sonel : Cérémonie d’ouverture + vernissage de l’exposition par le Minculte
20 heures au Camp Sonel : Spectacles
Jeudi 13 novembre 2008
10 heures au Camp Sonel : Formation sur « Management et carrières d’artistes »
11 heures au Camp Sonel : Point de presse des artistes
16 heures au Camp Sonel : Atelier des enfants sur les instruments traditionnels
16 heures au Campus de SOA : Conférence sur « Production et organisation de spectacles au Cameroun. Pourquoi tant d’échecs ? » par Robert NGOUN.
20 heures au Camp Sonel : Spectacles
Vendredi 14 novembre 2008
10 heures au Camp Sonel : Formation sur « Management et carrières d’artistes »
11 heures au Camp Sonel : Point de presse des artistes
16 heures au Camp Sonel : Atelier des enfants sur les instruments traditionnels
20 heures au Camp Sonel : Spectacles ; remise des diplômes
Samedi 15 novembre 2008
11 heures au Camp Sonel : Point de presse du Comité d’organisation
16 heures au Camp Sonel : Spectacle des enfants : danse et instruments traditionnels
20 heures au Camp Sonel : Spectacle de clôture ; remise des prix
PROGRAMMATION
Mercredi 12 / 11 / 08
16h 00 - 18h 00 Cérémonie d’ouverture et vernissage de l’exposition par le Mincult
18h 00 - 21h 00 Soirée traditionnelle
Richard band de Zoetele
Rocher band de mezesse
Mendzang Beti
Abanda man ekang percussion’s
Jeudi 13 / 11 /08
18h 00- 24h 00 Soirée des anciens (Zanzibar 20 ans déjà)
Mbarga ssoukous
Manga Lucky
Mballa Roger’s
Ebogo Emerant
Beti Joeph
Messi Ambroise
Atebass et Mengala Joss
Vendredi 14 / 11 / 08
20h 00 - 24h 00 Soirée féminine
K-tino
Majoie Ayi
Lady ponce
Odile Ngaska
Véronique Facture
Rantamplan
Miss Charlote
Mariva Labalaine
Samedi 15 / 11 / 08
20h 00 - 24h 00 Soirée populaire
Aîjo Mamadou
Amat Pierrot
Tsimi Toro
Zele
Jean Marie Asssene Nkou et les vibrations
Le Doux Marcellin
Bisso Solo
Lina Show
Tonton Ebogo
10 heures au Camp Sonel : Formation sur « Management et carrières d’artistes »
16 heures au Camp Sonel : Atelier des enfants sur les instruments traditionnels
Mardi 11 novembre 2008
10 heures au Camp Sonel : Formation sur « Management et carrières d’artistes »
11 heures au Camp Sonel : Point de presse des artistes
16 heures au Camp Sonel : Atelier des enfants sur les instruments traditionnels
16 heures ESSTIC, Campus Ngoa Ekellé : Conférence - débat sur « le bikutsi d’hier à aujourd’hui, quelle évolution » ; Intervenants : Daniel Anicet NOAH, cl Kalkaba Malboum, Jean Maurice NOAH, Abega Minkala
Mercredi 12 novembre 2008
10 heures au Camp Sonel : Formation sur « Management et carrières d’artistes »
11 heures au Camp Sonel : Réunion des agents et managers artistiques pour le lancement d’un syndicat professionnel camerounais (IAMA, MMFF-France)
13 heures : Caravane du Festival
16 heures au Camp Sonel : Cérémonie d’ouverture + vernissage de l’exposition par le Minculte
20 heures au Camp Sonel : Spectacles
Jeudi 13 novembre 2008
10 heures au Camp Sonel : Formation sur « Management et carrières d’artistes »
11 heures au Camp Sonel : Point de presse des artistes
16 heures au Camp Sonel : Atelier des enfants sur les instruments traditionnels
16 heures au Campus de SOA : Conférence sur « Production et organisation de spectacles au Cameroun. Pourquoi tant d’échecs ? » par Robert NGOUN.
20 heures au Camp Sonel : Spectacles
Vendredi 14 novembre 2008
10 heures au Camp Sonel : Formation sur « Management et carrières d’artistes »
11 heures au Camp Sonel : Point de presse des artistes
16 heures au Camp Sonel : Atelier des enfants sur les instruments traditionnels
20 heures au Camp Sonel : Spectacles ; remise des diplômes
Samedi 15 novembre 2008
11 heures au Camp Sonel : Point de presse du Comité d’organisation
16 heures au Camp Sonel : Spectacle des enfants : danse et instruments traditionnels
20 heures au Camp Sonel : Spectacle de clôture ; remise des prix
PROGRAMMATION
Mercredi 12 / 11 / 08
16h 00 - 18h 00 Cérémonie d’ouverture et vernissage de l’exposition par le Mincult
18h 00 - 21h 00 Soirée traditionnelle
Richard band de Zoetele
Rocher band de mezesse
Mendzang Beti
Abanda man ekang percussion’s
Jeudi 13 / 11 /08
18h 00- 24h 00 Soirée des anciens (Zanzibar 20 ans déjà)
Mbarga ssoukous
Manga Lucky
Mballa Roger’s
Ebogo Emerant
Beti Joeph
Messi Ambroise
Atebass et Mengala Joss
Vendredi 14 / 11 / 08
20h 00 - 24h 00 Soirée féminine
K-tino
Majoie Ayi
Lady ponce
Odile Ngaska
Véronique Facture
Rantamplan
Miss Charlote
Mariva Labalaine
Samedi 15 / 11 / 08
20h 00 - 24h 00 Soirée populaire
Aîjo Mamadou
Amat Pierrot
Tsimi Toro
Zele
Jean Marie Asssene Nkou et les vibrations
Le Doux Marcellin
Bisso Solo
Lina Show
Tonton Ebogo
vendredi 22 août 2008
INTERVIEW EXCLUSIVE

Propos recueillis par Bertrand OSSOMBA
BO: René Ayina, vous êtes le promoteur du Festival international des musiques Bantous, quand aura lieu l'édition 2008?
René Ayina: La 10e édition qui rendra hommage à l'action artistique de la femme se tiendra du 10 au 15 novembre prochain. Il se déroulera à Yaoundé au complexe AES SONEL d'essos.
BO: Quelles seront les grandes innovations de l"édition de cette année?
René Ayina: Nous avons décidé de renforcer les formations dans les domaines de l'entreprenariat culturel et agent artistique. Nous allons. également maintenir l'exposition photos et surtout soutenir la phase de récompence des artistes qui relève le niveau des textes dans les chansons bikutsi. -
bo/ Donnez 6nous une idée de l'affiche de la programmation?
René Ayina: Nous allons proposer une programmation à thème. Ce qui est sur c'est qu'il ne va pas manquer des noms comme Majoie Ayi et Lady ponce qui font parler d'elles en ce moment.
René Ayina: La 10e édition qui rendra hommage à l'action artistique de la femme se tiendra du 10 au 15 novembre prochain. Il se déroulera à Yaoundé au complexe AES SONEL d'essos.
BO: Quelles seront les grandes innovations de l"édition de cette année?
René Ayina: Nous avons décidé de renforcer les formations dans les domaines de l'entreprenariat culturel et agent artistique. Nous allons. également maintenir l'exposition photos et surtout soutenir la phase de récompence des artistes qui relève le niveau des textes dans les chansons bikutsi. -
bo/ Donnez 6nous une idée de l'affiche de la programmation?
René Ayina: Nous allons proposer une programmation à thème. Ce qui est sur c'est qu'il ne va pas manquer des noms comme Majoie Ayi et Lady ponce qui font parler d'elles en ce moment.
mardi 19 août 2008
VIVE LA CULTURE

FESTI BIKUTSI 2008
Parution de logos sur les spots télés annoncent l'événement, et toutes interventions télévisées prévues pour l'événement. Dans les écrans géants des salles de cinéma et des boîtes de nuit.
Supports de communication
Banderoles
Affiches
Tracts
Billets
Invitations
Tee-shirts
Site internet : www.irondel.org
Presse écrite française et anglaise et autres documents de presses
Voitures sonorisées
Diffusion des bandes d'annonce sur écran géant pendant les show.
Autres supports de communication
Espaces podium et entrée des lieux de spectacles
Espaces publicitaires pendant la soirée spéciale (table ronde) diffusée dans une chaîne de télévision (négociation en cours)
Conférence de presse ou cocktail de presse
Remerciements par les artistes et l'impresario pendant les deux spectacles
Stands promotionnels (gratuits)
Ecoulement de vos produits pendant les spectacles
La 10è édition s'annonce. Une semaine de festivités grandioses pour les célébrités de la musique Bantou d'hier et d'aujourd'hui, et de la culture Bantou en général. En vue, des expositions, des concerts et des conférences sous le haut patronnage du Ministère de la culture. Annonceurs et sponsors, le FESTI est votre évènement, votre soutien multiforme (matériel, financier ou logistique) sera le bienvenu pour la réussite de l'un des plus anciens festival culturel organisé au Cameroun. Pour tout assistance, contactez le promoteur René AYINA au 237 99 95 23 79 ou 237 22 01 37 53.
CATEGORIES DE SPONSORS ET PACKAGES DE VISIBILITE
CATEGORIE
APPORTS
PACKAGES
CATEGORIE
APPORTS
PACKAGES
Sponsor OR
20 000 000
20 000 000
parution du nom / Logo+Label en visualisation maximale "Sponsor officiel" avec slogan si existant, dans tous les espaces stratégiques de communication audio et visuel (spot radio et TV)
Visualisation sur scène et sur la jupe de scène.
Insertion du nom / Logo sur les banderoles, affiches, tracts, billetteries, tee-shirts, cartes invitations, presse écrite, dossier de presse, voiture publicitaire (sonorisée) et site Internet, écoulement de vos produits pendant les spectacles.
Visualisation du logo pendant la conférence de presse ou cocktail de presse et toast d'accueil.
Prestation et présentation de l'entreprise par divers responsables et démonstration de service ou produits par une force de vente (5mn).
Sponsor ARGENT
15 000 000
15 000 000
Mention du nom / Logo sur les supports " avec le soutien de " radio et TV. Parution du nom / Logo en visualisation minimale sur les banderoles, affiches, tracts, billetteries, tee-shirts, cartes invitations, presse écrite, dossier de presse, voiture publicitaire et site Internet, écoulement de vos produits et pendant les spectacles.
Sponsor BRONZE
10 000 000
10 000 000
Le Partenaire diffère du Sponsor Officiel et du Sponsor par la taille du logo sur les supports de communication (Dossier de presse, banderoles, tracts, affiches, site Internet, etc.) et de l'emplacement des supports de visualisation sur les plages publicitaires.
Fournisseur Officiel
5 000 000
5 000 000
Le Fournisseur Officiel diffère du Sponsor Officiel, du Sponsor et du Partenaire par la taille minimale du logo (dans le dossier de presse, affiches, tracts, banderole) et de l'emplacement des supports de visualisation sur toutes les pages publicitaires.
VISUALISATION DES SPONSORS
Audio
Toutes interventions radios (émissions spéciales, spots d'annonce de l'événement, …).
VISUALISATION DES SPONSORS
Audio
Toutes interventions radios (émissions spéciales, spots d'annonce de l'événement, …).
Visuel
Parution de logos sur les spots télés annoncent l'événement, et toutes interventions télévisées prévues pour l'événement. Dans les écrans géants des salles de cinéma et des boîtes de nuit.
Supports de communication
Banderoles
Affiches
Tracts
Billets
Invitations
Tee-shirts
Site internet : www.irondel.org
Presse écrite française et anglaise et autres documents de presses
Voitures sonorisées
Diffusion des bandes d'annonce sur écran géant pendant les show.
Autres supports de communication
Espaces podium et entrée des lieux de spectacles
Espaces publicitaires pendant la soirée spéciale (table ronde) diffusée dans une chaîne de télévision (négociation en cours)
Conférence de presse ou cocktail de presse
Remerciements par les artistes et l'impresario pendant les deux spectacles
Stands promotionnels (gratuits)
Ecoulement de vos produits pendant les spectacles
vendredi 18 janvier 2008
FESTI 2007: Une semaine pleine d'activités

Le programme du Festi Bikutsi 2007 s’est articulé autour de plusieurs activités à savoir : L’exposition des photos du Festi 2006, la projection des films du Bikutsi, les spectacles, les rencontres et divers échanges. L’initiation des enfants de moins de 15 ans aux instruments traditionnels (balafons, tam tam, percussions etc.) et à la danse.
ECHANGES
Dans la perspective d’encourager les jeunes à s’intéresser aux divers métiers du secteur culturel, des ateliers étaient organisés et dirigés par des professionnels. Notamment, l’initiation des enfants de moins de 15 ans à l’usage des tam tams, percussions et balafons.
EXPOSITION PHOTO
EXPOSITION PHOTO
L’exposition portait sur les grands moments du festival. Elle a permis de revivre certains faits et gestes passés inaperçus pendant le festival et immortalisés par la photo.
PRIX
Il s’est agit de créer l’émotion parmi ceux qui contribuent à la promotion des musiques Bantous et se distinguent par leur travail. Donner de la valeur à leurs œuvres, reconnaître leurs efforts en les récompensant.
SPECTACLES
mercredi 16 janvier 2008
MESSI MARTIN: Hommage rendu
FESTI BIKUTSI: Une histoire qui dure
Depuis 1995, le festi bikutsi est un véritable cadre de réjouissance et un espace de rencontres, de partage, de réflexion et de communication. Même si l' objectif du festi semble atteint, le promoteur continue son action de promotion et de valorisation de cet art musical que nous aimerions petit à petit ouvrir à l’art musical bantu.
En 2006, plus de 10,000 personnes se sont donner rendez-vous pour applaudir, danser et chanter avec Ebogo Emérent, Aijo, Tsimi Toro, Amat Pierrot, Atango de Manajama, Baka Bantou, les célèbres femmes génies de la Lékié, Tonton Ebogo etc.
En 2007, K-tino, Black Roger’s, Lady Ponce et bien d’autres jeunes que vous aimer ont fait le show. La démarche entreprise a permis de redonner confiance aux artistes malgré la piraterie. Les fans du bikutsi n'ont pas hésité à venir faire la fête. « danser le bikutsi avec ou sans cavalière » La fête était belle, oui, très belle, grâce à la grande mobilisation des artistes de renom, déterminés à donner des spectacles de qualité.
Avec la nouvelle donne culturelle camerounaise, l' ambition du festi est de profiter de la stabilité politique du Cameroun pour faciliter l’intégration des rythmes bantous dans les circuits internationaux de show biz.
Inciter les pouvoirs publics à jouer leur véritable rôle dans l’action de valorisation du patrimoine que nous avons engagé.
La fête était plus belle encore grâce à l’engagement du ministère de la culture et de nos partenaires : Achille production de Joseph Mbanga, As sono production de Jean Marie Assene Nkou, AES Sonel, la CRTV, Colorix et Babel’@rt et surtout du comité d'organisation constitué de
En 2006, plus de 10,000 personnes se sont donner rendez-vous pour applaudir, danser et chanter avec Ebogo Emérent, Aijo, Tsimi Toro, Amat Pierrot, Atango de Manajama, Baka Bantou, les célèbres femmes génies de la Lékié, Tonton Ebogo etc.
En 2007, K-tino, Black Roger’s, Lady Ponce et bien d’autres jeunes que vous aimer ont fait le show. La démarche entreprise a permis de redonner confiance aux artistes malgré la piraterie. Les fans du bikutsi n'ont pas hésité à venir faire la fête. « danser le bikutsi avec ou sans cavalière » La fête était belle, oui, très belle, grâce à la grande mobilisation des artistes de renom, déterminés à donner des spectacles de qualité.
Avec la nouvelle donne culturelle camerounaise, l' ambition du festi est de profiter de la stabilité politique du Cameroun pour faciliter l’intégration des rythmes bantous dans les circuits internationaux de show biz.
Inciter les pouvoirs publics à jouer leur véritable rôle dans l’action de valorisation du patrimoine que nous avons engagé.
La fête était plus belle encore grâce à l’engagement du ministère de la culture et de nos partenaires : Achille production de Joseph Mbanga, As sono production de Jean Marie Assene Nkou, AES Sonel, la CRTV, Colorix et Babel’@rt et surtout du comité d'organisation constitué de
Président
René Ayina
Membres d'honneur
Dieunonné Ambassa Zang, Philippe Mbarga Mboa, Jean Marie Assene Nkou et Joseph Mbanga
Conseillers
Augustin Charles Mbia, Emmanuel Mbede
Régie générale
Mballa Elanga
Communication
Bernard Ayolo, Hypolite Nkengue, Max Elanga Mballa
Direction artistique
Danielle G. Ngono
Logistique
Léontine Babéni, Georges Meke, Adèle Meke, Pascal Owona, Ignace Mbala, Fabien Dingom, Martial Bikanda
Régie son
Foé Naimro
Sécurité
Luc Maguy
Comptabilité
Phlibert Onana
Animation
Alain Dexter, Martinez Zogo, Aivo
Secrétariat
Anne Njock, Laurence Ngando
Infographie
Joachim Etémé
mardi 15 janvier 2008
K-TINO: Deux coups de reins.

La chanteuse glisse d’un coup deux albums sous les pieds de ses fans.
Elle se meut, désormais, entre deux mondes : le Cameroun, sa " base ", et la France et partant d’autres pays d’Europe, " une étape " d’une route à prolonger.
Deux mondes où le nom de la chanteuse est porté haut. Fidèle à une gamme qui, à la réalité, emballe les cœurs des consommateurs de produits culturels et artistiques plus qu’elle ne choque, K-Tino poursuit allègrement son admirable aventure sur les rivages du show-biz. " Je suis la chanteuse camerounaise la mieux connue à l’heure actuelle en France ", affirme-t-elle, prenant à témoin sa rencontre à Paris avec son idole de tous les temps, la diva américaine Madonna, et le tour de chant au côté du King Ray Charles, au Congo.
C’est bien la preuve que la petite…Adeda a pris du volume. Au propre comme au figuré. Et ça lui plaît de jouer ce rôle. La " femme du peuple ", c’est du passé. Aujourd’hui, elle estime que " fantasme du peuple " est le nom qui la désigne mieux.
Chanteuse aux envolées hors du commun, en un mot provocatrice, la grande dame, qui révèle une inspiration sans cesse abondante, est de retour dans les bacs. Avec deux albums qui font frémir au regard de leurs pochettes, " La queue de ma chatte " et " Ne pousse pas le bouchon…loin ". " Je suis une artiste.
Et l’artiste, c’est quelqu’un qui crée ", s’en défend-elle, fière d’une carrière jalonnée de succès. Succès à pleins tubes, c’est ce qui, en effet, distingue K-Tino, une " show woman " et bête de scène à l’énergie débordante. Les fans n’y résistent pas.
Et voilà, à peine sortis, les deux albums qui viennent d’être glissés sous les pieds des danseurs se vendent comme des petits pains.
En très peu de temps, les premiers exemplaires se sont arrachés : 30.000 cassettes pour chaque produit ! Encore des records de vente en perspective.
Retour d’ascenseur ? C’est cela : K-Tino déclare qu’elle a " toujours eu une folle envie d’être dans la musique et de ne pas s’en séparer brutalement " ; et la musique le lui rend.
Raphaël MVOGO / le 12 décembre 2003
Elle se meut, désormais, entre deux mondes : le Cameroun, sa " base ", et la France et partant d’autres pays d’Europe, " une étape " d’une route à prolonger.
Deux mondes où le nom de la chanteuse est porté haut. Fidèle à une gamme qui, à la réalité, emballe les cœurs des consommateurs de produits culturels et artistiques plus qu’elle ne choque, K-Tino poursuit allègrement son admirable aventure sur les rivages du show-biz. " Je suis la chanteuse camerounaise la mieux connue à l’heure actuelle en France ", affirme-t-elle, prenant à témoin sa rencontre à Paris avec son idole de tous les temps, la diva américaine Madonna, et le tour de chant au côté du King Ray Charles, au Congo.
C’est bien la preuve que la petite…Adeda a pris du volume. Au propre comme au figuré. Et ça lui plaît de jouer ce rôle. La " femme du peuple ", c’est du passé. Aujourd’hui, elle estime que " fantasme du peuple " est le nom qui la désigne mieux.
Chanteuse aux envolées hors du commun, en un mot provocatrice, la grande dame, qui révèle une inspiration sans cesse abondante, est de retour dans les bacs. Avec deux albums qui font frémir au regard de leurs pochettes, " La queue de ma chatte " et " Ne pousse pas le bouchon…loin ". " Je suis une artiste.
Et l’artiste, c’est quelqu’un qui crée ", s’en défend-elle, fière d’une carrière jalonnée de succès. Succès à pleins tubes, c’est ce qui, en effet, distingue K-Tino, une " show woman " et bête de scène à l’énergie débordante. Les fans n’y résistent pas.
Et voilà, à peine sortis, les deux albums qui viennent d’être glissés sous les pieds des danseurs se vendent comme des petits pains.
En très peu de temps, les premiers exemplaires se sont arrachés : 30.000 cassettes pour chaque produit ! Encore des records de vente en perspective.
Retour d’ascenseur ? C’est cela : K-Tino déclare qu’elle a " toujours eu une folle envie d’être dans la musique et de ne pas s’en séparer brutalement " ; et la musique le lui rend.
Raphaël MVOGO / le 12 décembre 2003
9 e EDITION DU FESTIBIKUTSI: Un succès populaire
La 9ème édition du FestiBikutsi a eu lieu du 12 au 17 novembre 2007 au Camp SONEL de Yaoundé. En plus des spectacles prévus sur le site du festival, des cabarets de Yaoundé ont accueillis de nombreux artistes et amoureux du bikutsi.
Un hommage mérité a été rendu à Messi Martin, l'initiation des enfants au maniement des instruments traditionnels ainsi que l'invitation faite à l'artiste ATEH Bazor du Nord-ouest ainsi quau patrimoine d'Eseka, en région Bassa
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